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JE VOUDRAIS ME DÉPOSER LA TÊTE, ÉDITIONS SÉMAPHORE, 95 PAGES

ISBN 978-2-923107-02-8

 

FINALISTE PRIX ANNE-HÉBERT 2006

 

 

QUELQUES ÉCHOS CRITIQUES

Une des "nouvelles voix qui secouent le roman québécois."

Martine Desjardins, L'actualité, janvier 2011.

 

« J’ai découvert ce sublime roman par l’adaptation théâtrale mise en scène par Claude Poissant en 2007. Depuis, je relis souvent cette œuvre d’une poésie douloureuse, qui rend magnifiquement compte de la puissance de l’amitié et qui raconte le suicide de manière très poignante, témoignant aussi du désarroi des banlieues québécoises avec une grande acuité. »

Une suggestion de Yanik Pépin, à Plus on est de fous, plus on lit, le 14 février 2013.

 

"Harnois parvient avec brio à éviter les écueils de ce thème mille fois visité et nous livre un récit tout en nuances, porté par une plume d’une beauté douloureuse."

Anne-Pascale Lizotte, de la librairie Monet, Le libraire.

 

"… écrivain aux ardeurs rimbaldiennes."

Sarah Mouton, Entre les lignes

 

"Je voudrais me déposer la tête sort la poésie des cimetières et s’en sert pour nous faire vivre un récit véhément."

Laurence Deschamps-Laporte, L’artisan étudiant.

 

"Harnois ne fait pas du style, il a du style."

Josée Bonneville, Lettres québécoises.

 

"… un sublime petit essai de Jonathan Harnois qui restera longtemps gravé dans l’esprit du lecteur. Magique."

Martin Gignac, CHOQ.FM

 

"Un livre tout à fait étonnant… maîtrisé… lumineux… Vie intérieure d’un enfant de la banlieue… Les personnages sont tous beaux, tous forts, même Félix qui se suicide… Je le recommande à tout le monde."

Raymond Cloutier, Porte ouverte.

 

"Par son sujet d’actualité, ce roman devrait particulièrement intéresser les lecteurs dans la vingtaine. L’histoire captivante, qui se lit en moins de deux heures, va au cœur des choses et ne s’encombre pas d’un discours moralisateur, maintes fois entendu, sur un enjeu dérangeant."

Olivier Dumas, Montréal Campus.

 

"C’est un tout petit roman, peu de pages, peu de mots, mais chaque mot est minutieusement pesé, comme si c’était de l’or (…) Il y a, dans ce récit douloureux traversé par des éclairs de lucidité, bien assez de trouvailles, de beauté, d’images bouleversantes, pour faire oublier les quelques naïvetés."

Marie-Claude Fortin, La Presse.

 

"Ma plus grande révélation littéraire de ces deux dernières années. […] J’ai été happé, troublé, bouleversé. C’est un roman formidablement poétique […] des images qui font des éclats, des éclairs […] roman d’une beauté inouïe. Un véritable écrivain est né."

Pierre Bernard à Christiane Charette, 6 fév. 2007.

 

"Jonathan Harnois traite le thème délicat du suicide par petites touches sensibles et nous donne à lire un récit poétique poignant. L’auteur à l’imagination fantaisiste invente des métaphores qui se répondent à quelques pages de distance, crée des atmosphères, les défait aussitôt, déforme les mots pour en faire jaillir un nouveau sens. Il faut, pour entrer dans ces pages, une lecture lente si on veut apprécier le style imagé et tout en douceur de ce jeune écrivain qu’il faudra surveiller de près. De très près."

Suzanne Giguère, Le Devoir.

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